Expédition en Antartique pour retrouver les bases secrètes allemandes de la Deuxième Guerre Mondiale.
Ecrits de Michel Duchaine sur des sujets connexes
RÉ-ÉCRIRE L'HISTOIRE- LES SOCIÉTÉS SECRÈTES ALLEMANDES ET LES OVNI NAZI
(le 12 décembre 2011)
LE FUHRER ET LES OVNI DU REICH
Au premier abord, la Société VRIL ne devrait pas rentrer dans le cadre de notre sujet qui relève plus de la politique mais elle est une des sociétés secrètes les plus intéressantes qui ait jamais existé. C'est pourquoi il nous FAUT absolument la mentionner. Il n'y a pas un seul livre en Allemagne sur cette Société Vril et tout autre document qui auiait pu renvoyer à ce nom a été bel et bien soustrait par les Alliés. Mais, comme vous vous en apercevrez, tout n'a pas disparu. Et j'éprouve un certain plaisir tout particulier à vous dévoiler ici ce thème. En effet, vous allez constater quels sont les milieux influents "non allemands" qui tiennent à cacher la vérité aux Allemands.
Karl Haushofer fonda, avant 1919, un deuxième ordre, les "FRERES DE LA LUMIERE" qui prit, plus tard, le nom de "SOCIETE VRIL". Dans celle-ci se retrouvèrent aussi "LES MAITRES DE LA PIERRE NOIRE" (DHvSS), une nouvelle fondation des templiers, issue de l'ordre Germain en 1917, et les "CHEVALIERS NOIRS" du "SOLEIL NOIR", élite de la Société Thulé et des SS.
Si nous comparons la Société Vril avec la société Thulé, la différence peut se résumer ainsi : la Société Thulé s'occupait de choses matérielles et politiques tandis que la Société Vril avait des occupations qui concernaient surtout l'AU-DELA. Mais elles avaient quand même quelques points communs. Toutes deux étudiaient l'Atlantide, Thulé, l' "Ils des Bienheureux" de Gilgamesh, les rapports originels entre les Germains et les Mésopotamiens ainsi que les anciens sanctuaires comme Stronegg avec ses pierres dressées.
En décembre 1919, une maison forestière fut louée dans le Ramsau, près de Berchtesgaden, ou se rencontrèrent quelques personnes des Sociétés Thulé, DHvSS et Vril. Parmi elles, les médium Maria Orsitsch et Sigrun. Maria avait capté des informations dans une écriture secrète des templiers - une langue tout a fait inconnue pour elle avec des précisions techniques pour construire un engin volant. Ces messages télépathiques étaient transmis, d'après les écrits de la Société Vril, du système solaire d'Aldébaran situé dans la constellation du Taureau.
Je voudrais, à cet endroit de mon récit, vous présenter un résumé des messages qui ont été reçus pendant des années par les télépathes de la Société Vril et qui ont été à la base des actions entreprises par cette dernière.
Le système solaire d'Aldébaran serait a 68 années-lumière de la Terre et deux planètes habitées qui constitueraient le royaume de "SUMERAN" tourneraient autour de son soleil. Les habitants de ce système solaire, seraient subdivisés en un peuple de maîtres, d'hommes-Dieu blancs (Aryens) et en différentes autres races humaines. Celles-ci se seraient développées à cause de changements climatiques sur les planètes isolées et seraient le résultat d'une dégénérescence de ces "hommes-Dieu". Ces mutants auraient eu un développement spirituel inférieur aux "hommes-Dieu". Plus les races se mélangeaient, plus leur développement spirituel se dégradait. Par conséquent, lorsque le soleil d'Aldébaran se mit à grandir, ils ne purent plus faire des voyages interplanétaires comme leurs ancêtres, il leur était devenu impossible de quitter leurs planètes. C'est ainsi que les races inférieures, totalement dépendantes de la race des maîtres, auraient été évacuées dans des vaisseaux spatiaux et amenées sur d'autres planètes habiables. Malgré ces différences, le respectétait de mise entre ces deux races, elles n'empiétaient pas sur l'espace vital de l'autre. Chaque race respectait le développement de l'autre (contrairement à ce qui se passe chez les terriens).
La race des maîtres, les "hommes-Dieu blancs", aurait commencé à coloniser d'autres planètes similaires à la Terre il y a quelques 500 millions d'années, suite à l'expansion du soleil d'Aldébaran et de la chaleur grandissante qui en résulta et qui rendit les planètes inhabitables. On dit qu'ils auraient colonisé dans notre système solaire d'abord la planète Mallona (nommée aussi Maldek, Marduk ou bien Phaeton chez les Russes) qui aurait existé, à l'époque, entre Mars et Jupiter, là où se trouvent les astéroïdes aujourd'hui. Ce fut, après, au tour de Mars dont les grandes villes pyramidales et le visage martien bien connu, photographiés en 1976 par la sonde Viking, témoignent du haut niveau de développement de ses habitants. D'ou la supposition que les hommes-Dieu de Sumeran-Aldébaran vinrent à cette époque-là pour la première fois sur Terre. De vieilles traces d'un soulier fossilisé remontant à environ 500 millions d'années en témoignent, ainsi qu'un trilobite fossilisé piétiné avec le talon de ce soulier. Cette écrevisse primitive vivait alors sur Terre et a disparu il y a 400 millions d'années.
Les membres de la Société Vril pensaient que les Aldébariens atterrirent, plus tard, lorsque la Terre devint peu à peu habitable, en Mésopotamie et qu'ils formèrent la caste dominante des SUMERIENS. On appela ces Aldébariens "hommes-Dieu blancs". De plus, les téléphates de Vril reçurent l'information suivante : la langue des Sumériens était non seulement identique à celle des Aldébariens, mais elle avait aussi des sonorités semblables à l'allemand et la fréquence de ces deux langues était presque identique.
Cela correspond-il à la réalité ? Disons simplement que les plans de construction et les renseignements techniques reçus par les télépathes - d'où qu'ils viennent - étaient si précis que naquit l'idée la plus fantastique jamais conçue par l'homme : la construction de la "machine vers l'au-delà" !
Le concept d'une "autre science" mûrit dans les esprits (on emploierait, de nos jours, le terme de "formes d'énergies alternatives"). Il fallut trois ans pour que le projet soit mis en place. Dans cette première phase d'une "autre technique" ou d'une "autre science", le Dr W. O. Schumann, memnre des Sociétés Thulé et Vril, fit un exposé à la Faculté des sciences de Munich. En voici un extrait :
"Dans tous les domaines, il y a deux principes qui déterminent les événements : la lumière et l'ombre, le bien el le mal, la création et la destruction, comme le plus el le moins en électricité. Il s'agit toujours de : d'une façon d'une façon ou d'une autre !
Ces deux derniers principes - désignons-les concrètement comme les principes créateurs et destructeurs - déterminent aussi nos moyens techniques. ( ... )
Le principe destructeur qui est l'oeuvre du diable, le principe créateur l'oeuvre de Dieu. ( ... ) Toute technique basée sur le principe de l'explosion ou de la combustion peut être cataloguée de technique satanique. La nouvelle ère qui arrive sera l'ère d'une technique nouvelle, positive et divine ! (...) (extrait des archives secrètes des SS).
A la même période, le scientifique VIKTOR SCHAUBERGER travaillait à un projet similaire. Il avait fait sien l'enseignement de Johannes Kepler qui était en possession de la doctrine secrète des pythagoriciens, reprise et tenue secrète par les TEMPLIERS. Cela concernait le savoir sur l' "IMPLOSION" (dans ce cas, cela signifit l'utilisation du potentiel des mondes intérieurs dans le monde extérieur). Hitler et tous les autres membres des Sociétés Thulé et Vril savaient que le principe divin est toujours créateur, c.-à-d. constructif. Une, technologie qui, par contre, repose sur l'explosion est donc, de ce fait, destructeur, opposée au principe divin. On voulut alors créer une technologie reposant sur l'IMPLOSION. La doctrine de l'oscillation de Schauberger (le principe de la série des harmoniques = monocorde) part du savoir sur l'implosion. Disons plus simplement : l'IMPLOSION à la place de l'EXPLOSION ! Au moyen des trajectoires de l'énergie du monocorde et de la technique de l'implosion, on pénètre dans le domaine de l'antimatière et on dissout, ainsi, la pesanteur.
Le premier vaisseau en forme de soucoupe fut construit l'été 1922, sa propulsion était basée sur la technique de l'implosion (la machine vers l'au-delà). Il comprenait un disque de 8m de diamètre, surhaussé d'un disque parallèle de 6,5m de diamètre et flanqué en dessous d'un autre disque de 6m de diamètre. Ces trois disques avaient dans leur centre un orifice de 1.80m de diamètre où l'on monta le propulseur de 2.40m de haut. En bas, le corps central se terminait en fome de cône. Dans ce cône se trouvait une sorte de pendule qui avait pour effet de stabiliser l'appareil. Les disques inférieur et supérieur tournaient en sens inverse pour créer un champ de rotation électromagnétique.
On ne connaît pas les performances de ce premier disque volant. Il fut expérimenté pendant deux ans avant d'être démonté et entreposé dans les ateliers de Messerschmidt à Augsbourg. On retrouve des aides de financements pour ce projet dans les comptabilités de plusieurs entreprises industrielles, mentionnées sous le code "JFM". Il est certain que le mécanisme Vril est issu de la "machine vers l'au-del~t" mais il a été répertorié comme le "lévitateur Schumann SM".
En principe, la machine vers l'au-delà devait engendrer un champ extrêmement fort autour d'elle et dans son proche voisinage qui faisait de tout l'espace environnant, y compris celui de la machine et des occupants, un microcosme tout à fait indépendant de notre cosmos. A sa puissance maximale, ce champ serait totalement indépendant de toutes les forces et influences de notre Univers, telles que la gravitation, l'électromagnétisme, le rayonnement ou n'importe quelle matière. Il pourrait se mouvoir à volonté dans tous les champs gravitationnels sans qu'on y détecte ou qu'on y sente des forces d'accélération.
En juin I934, VICTOR SCHAUBERGER fut invité par Hitler et les plus grands représentants des sociétés Vril et Thulé et travailla, désormais, en collaboration avec eux.
Le premier OVNI allemand vit le jour en juin 1934. C'est sous la direction de Dr W. 0. Schumann que naquit le premier avion circulaire expérimental sur le terrain de la fabrique d'avions Arado à Brandebourg : il s'agissait du RFZ-1. Lors de son premier vol qui fut aussi le dernier, il s'éleva à la verticale d'une hauteur d'environ 60m mais se mit alors à tournoyer et à danser dans l'air pendant plusieurs minutes. L'empennage Arado 196 qui devait guider l'appareil s'avéra complètement inefficace. C'est avec grand-peine que le pilote Lothar Waiz réussit à le poser au sol, à s'en échapper et à s'éloigner en courant, car l'appareil se mit à tourner comme une toupie avant de capoter et d'être complètement mis en pièces. C'était la fin du RFZ-1, mais le début des engins volants VRIL.
Le RFZ-2 fut terminé avant la fin de l'année 1934, il avait une propulsion Vril et un "pilotage à impulsion magnétique". Son diamètre était de 5m et ses caractéristiques étaient les suivantes : les contours de l'appareil s'estompaient quand il prenait de la vitesse, et il s'illuminait de différentes couleurs, ce qui est bien caractéristique des OVNIs. Selon la force de propulsion, il devenait rouge, orange, jaune, vert, blanc, bleu ou violet.
Il put donc fonctionner et l'année 1941 lui réserva un destin remarquable. Il fut utilisé comme avion de reconnaissance à grande distance pendant la "bataille d'Angleterre", car il s'avéra que les chasseurs allemands standards ME109 étaient inaptes à des vols de reconnaissance transatlantiques à cause de leur petit rayon d'action.
On le photographia fin 1941 au dessus du sud de l'Atlantique alors qu'il se dirigeait vers le croiseur auxiliaire Atlantis se trouvant dans les eaux de l'Antartique, il ne pouvait pas être utilisé comme avion de chasse pour la raison suivante : à cause de son pilotage à impulsion, le RFZ-2 ne pouvait effectuer des changements de direction que de 90°, 45° ou 22.5°. "C'est incroyable" vont penser certains d'entre vous mais ce sont précisément ces changements de vol en angle droit qui sont caractéristiques des OVNIs.
Après le succès du RFZ-2 comme avion de reconnaissance à grande distance, la société Vril disposa d'un terrain d'expérimentation à Brandebourg. Le "chasseur VRIL I", disque volant équipé d'armes légères, volait à la fin de l'année 1942. Il avait 11.5m de diamètre, possédait un siège et une "propulsion à lévitation Schumann" et un "pilotage par impulsion à champ magnétique". Il atteignait des vitesses de 2.900 à 12.000km/h, pouvait accomplir en pleine vitesse des changements de vol à angle droit sans préjudice pour le pilote, il n'était pas soumis aux conditions atmosphériques et était parfaitement apte à voler dans l'espace. On construisit 17 exemplaires du Vril I, il y eut aussi plusieurs variantes à deux sièges, munies d'un dôme de verre.
Au même moment, un projet V-7 vit le jour. Plusieurs disques volants portèrent ce nom mais ils avaient une propulsion par réacteurs conventionnels. C'est grâce à ANDREAS EPP que le RFZ-7 fur créé, il combinait un disque volant à lévitation avec cette propulsion à réaction. L'équipe de SCHRIEVER-HABERMOHL et celle de MIETHE-RELLUZO participèrent à son élaboration. Il avait 42m de diamètremais se fracassa lors d'un attérissage à Spitzbergen. Aux alentours de Prague, on prit cependant, plus tard, une photo d'un RFZ-7 construit de la même façon. D'après Andreas Epp, il devait être équipé d'ogives nucléaires et il devait bombarder New York.
En juillet 1941, SCHRIEVER et HABERMHOL, construisirent un avion circulaire qui décollait à la verticale, mû par une propulsion à réaction mais qui avait, cependant, de graves défaillances. On dédeloppa pourtant une autre "toupie volante à électro-gravitation" avec une propulsion à tachyons qui eut plus de réussite. Puis ce fut au tour du RFZ-7T, construit par Schriever, Habermhol et Belluzo, qui fonctionna à merveille lui aussi. Mais comparés aux disques Vril et Haunebu, les disques volants V7 étaient plutôt des jouets d'enfants.
Au sein même des SS se trouvait un groupe qui travaillait à la production d'énergie alternative : le BUREAU D'ETUDE IV DU SOLEIL NOIR = SS-E-IV, dont le but principal était de rendre l'Allemagne indépendante du pétrole brut étranger. Le SS-E-IV développa le "mécadsme THULE", appelé, plus tard, TACHYONATEUR THULE, à partir du mécanisme Vril et du convertisseur de tachyons du commandant Hans Coler.
En août 1939 décolla le premier RFZ-5. C'était une toupi volante équipée d'armes moyennement lourdes du nom étrange de "HAUNEBU I". Elle avait un équipage composé de huit hommes, avait 25m de diamètre, sa vitesse au départ étit de 4.800km/h pour atteindre, plus tard, jusqu'à 17.000km/h. Elle était équipée de deux "canons à rayons forts" (KSK) de 60mm, montés sur tourelles rotatives, et de quatre MK106 et avait une aptitude moyenne à voler dans l'espace.
Fin 1942, le "HAUNEBU III" était également fin prêt. Son diamètre variait de 26 à 32m, sa hauteur était de 9 à 11m. Il pouvait transporter un équipage de 9 à 20 personnes, Propulsé par un tachyonateur Thulé, il atteignait dans la périphérie terrestre 6.000km/h. Il était apte à se déplacer dans l'espace et avait une autonomie de 55 heures de vol.
Il existait alors déjà des projets pour le grand vaisseau spatial VRIL7 de 120m de diamètre qui devait transporter des compagnies entières. Peu après, on construisit le "HAUNEBU III", exemplaire absolument prestigieux entre tous avec ses 71m de diamètre. Il vola et fut même filmé : il pouvait transporter 32 personnes, son autonomie en vol était de plus de huit semaines et il atteignait une vitesse d'au moins 7.000km/h (et d'après des documents d'archives secrètes des SS, il pouvait atteindre 40.000km/h).
Virgil Armstrong, ex-membre de la CIA et retraité de Green Beret, déclare que les engins volants allemands pendant la Deuxième Guerre pouvaient atterrir et décoller à la verticale et voler en angle droit. Ils atteignaient 3.000km/h et étaient armés de canons laser (probablement le KSK, "canon à rayons forts") qui pouvait traverser une épaisseur de 10 cm de blindage.
Le proresseur J. J. Hurtak, ufologue et auteur de "Die Schlüssel des Enoch" ("Les clefs d'Hénoch"), dit que les allemands étaient en train de construire ce que les Alliés désignaient de "système d'armes miracles". Hurtak eut entre ses mains des documents mentionnant :
1. la construction de Peenemünde, ville d'expérimentation d'engins téléguidés vers l'esapce
2. la venue des meilleurs techniciens et scientifiques d'Allemagne
Ces documents mentionnaient aussi l'existence de ce qu'on appelait les "FOO-FIGHTERS" (les boules de feu). La CIA et les services secrets britanniques étaient déjà au courant, un 1942, de la construction et de l'emploi de tels objets volants mais ils ne les apprécièrent pas à leur juste valeur. Les Alliés désignaient, en fait, sous le nom de foo-fighters toutes les sortes d'appareils volants lumineux allemands. Deux inventions correspondaient particulièrement à ce qu'on appelait les foo-fighters : les tortues volantes et les bulles de savon. Les deux n'avaient rien à voir entre elles mais les Alliés les associaient à tort. La "TORTUE VOLANTE" fut conçue par le bureau d'études SS-E-IV à Wiener Neustadt. Sa forme rappelait celle d'une carapace de tortue. C'était une sonde volante sans équipage qui qui devait perturber le système d'allumage électrique du matériel militaire ennemi. Cette sonde était aussi équipée d'armes sophistiquées, de tubes à Klystron appelés rayons de la mort par les SS. Mais le sabotage par coupure de contact ne fonctionna pas parfaitement au début. On continua, plus tard, à développer cette technique. Quiconque a déjà vu des OVNIs pourra confirmer que cette "coupure de contact", c.-à-d. l'arrêt des installations électriques, est une des caractéristiques typiques des OVNIs quand ils apparaissent. Wendell C. Stevens, pilote de l'US Air Force pendant le Deuxième Guerre mondiale, dit que les foo-fighters étaient parfois gris vert ou rouge orange, qu'ils s'approchaient jusqu'à 5m des avions et qu'ils restaient dans cette position. Il n'était pas possible de se débarrasser d'eux, même lorsqu'on leur tirait dessus, et ils obligeaient parfois les escadrilles à faire demi-tour ou à atterrir.
Quant aux bulles de savon désignées souvent comme foo-fighters, c'étaient, en fait, de simples ballons à l'intérieur desquels se trouvaient de fines spirales en métal pour brouiller les radars des avions ennemis. Leur efficacité fut probablement minime, mis à part l'effet d'intimidation psychologique.
Au début de l'année 1943, on lança même le projet d'un astronef en forme de cigare qui devait être construit dans les chantiers de Zeppelin, c'était l' "APPAREIL ANDROMEDA" (long de 139m). Il devait transporter plusieurs vaisseaux spatiaux en forme de soucoupes pour des vols (interstellaires) de longue durée.
Une réunion importante de la SOCIETE VRIL eut lieu aux environs de Noël 1943 à Kolberg, station balnéaire en mer du Nord, à laquelle assistèrent les médiums Maria et Sigrum. le sujet pincipal concernait l' "ENTREPRISE ALDEBARAN". Les médiums avaient reçu des renseignements précis sur les planètes habitées, situées autour du soleil d'Aldébaran, et un voyage fut programmé pour s'y rendre. le 2 janvier 1944, HITLER, HIMMLER, Künkel et Schumann (tous deux de la Société Vril) se rencontrèrent pour parler de ce "PROJET VRIL". Ils voulaient se diriger à l'aide d'un gros astronef, le Vril 7, vers Aldébaran par un canal dimenionnel. D'après Ratthofer, le premier essai en vol dans un canal dimensionnel aurait eu lieu l'hiver 1944. L'appareil aurait évité de justesse un désastre : d'après les photos du Vril 7 prises après son retour, on aurait dit "qu'il avait voyagé pendant un siècle". Le revêtement extérieur des cabines paraissait très usagé et il était abimé en maints endroits.
Le 14 févier 1944, le pilote d'essai Joachim Roehike testa à Peenemünde l'hélicopière supersonique construit par Schriever et Habelmohl sous le nom du projet V-7, qui était équipé de douze turbopropulseurs BMW 028. Sa vitesse de montée à la verticale était de 800m à la minute, il atteignait une hauteur de 24.200m et sa vitesse en vol horizontal était de 2.200km/h. Il pouvait être propulsé aussi par une énergie non conventionnelle. Il ne put, cependant, jamais intervenir car Peenemünde fut bombardé en 1944 et son transfert à Prague s'avéra inutile puisque cette ville fut occupée par les Américains et les Russes bien avant qu'on ne puisse utiliser les disques volants.
Lorsqu'ils occupèrent l'Allemagne début 1945, les Britanniques et les Américains découvrirent, entre autres, dans les archives secrètes des SS des photos du Haunebu II et du Vril I ainsi que de l'appareil Andromeda. En mars 1946, le président Truman fit en sorte que le comité de la flotte de guerre des USA donnat la permission de rassembler le matériel allemand pour qu'ils puissent expérimenter cette haute technologie. Des savants allemands travaillant en secret furent emmenés aux USA dans le cadre de l'opération "PAPERCLIP". Il s'y trouvait, entre autres, VIKTOR SCHAUBERGER et WERNER VON BRAUN.
Résumons brièvement ici les constructions qui devaient être produites en série :
Le premier projet fut conduit sous la direction du Prof. Dr W. 0. Schumann de la Faculté des sciences de Munich, C'est dans ce cadre qu'auraient été construits, jusqu'au début de 1945, 17 disques spatiaux volants de 11.5m de diamètre qui auraient accompli 84 essais en vol,, c'étaient ceux qu'on appelait les "CHASSEURS VRIL 1". Un VRIL-7 et un VRIL-7 grand modèle du nom de "ODIN" auraient, pour le moins, décollé de Brandebourg vers Aldébaran, en avril 1945, après avoir fait sauter tout le terrain d'essais et en emmenant une partie des scientifiques de Vril et des membres de la loge Vril.
Le deuxième projet était mené par le bureau d'étude IV des SS qui fit construire, jusqu'au début 1945, trois types du toupies spatiales de différentes grandeurs en forme de cloche :
le HAUNEBU I, 25m de diamètre, en deux exemplaires, testé 50 fois (vitesse en vol d'environ 4.800km/h).
le HAUNEBU I, 11332m de diamètre, en sept exemplaires, testé 100 fois (vitesse en vol d'environ 6.000km/h).
Il était, en fait, prévu de construire des Haunebu II en série. Une offre aurait été lancée auprès des firmes d'avions Dornier et Junkers. Fin mars 1945, Dornier décrocha le contrat. L'appellation officielle de ces lourdes toupies volantes allait être DO-STRA (avions STRAtosphère DOrnier).
Le HAUNEBU III, 71m de diamètre, construit en un seul exemplaire, vola au moins 19 fois (vitesse en vol d'environ 7.000km/h).
L' "APPAREIL ANDROMEDA", astronef de 139m qui pouvait recevoir un Haunebu II, deux VRIL I et deux VRIL II, resta à l'état de projet.
Il y a, de plus, des documents attestant que le VRIL-7, version grand modèle, fut terminé à la fin 1944 et qu'après des essais, il fit quelques vols qui ne dépassèrent pas l'orbite terrestre qui furent tenus secrets :
1. Atterrissage près du lac "Mondsee" dans le Salzkammergut avec des essais de plongée pour vérifier la résistance à la pression du fuselage.
2. Le Vril-7 a probablement stationné dans la "Forteresse des Alpes" de mars à avril 1945 pour des raisons de sécurité et des motifs stratégique. De là-bas, il s'envola vers l'Espagne où s'étaient réfugiées des personnalites importantes du Reich pour les emmener vers l'Amérique du Sud et vers le "NEUSCHWABENLAND" (explication ci-après) et les mettre en sécurité dans les bases secrètes que les Allemands avaint construites là-bas pendant la guerre.
3. Aussitôt après, le Vril-7 aurait décollé secrètement vers le Japon, mais nous n'en savons pas plus.
Qu'advint-il des vaisseaux spatiaux après la guerre ?
On ne peut exclure une production en une très petite série du Haunebu II. Les différentes photos d'OVNIs qui, après 1945, montrent des constructions typiquement allemandes nous le laissent à penser.
Certains disent qu'une partie des engins avait été coulée dans le lac "Mondsee" en Haute-Autriche, d'autres pensent qu'ils auraient été emmenés en Amérique du Sud ou qu'ils y furent transportés en pièces détachées. Il est certain que même s'ils n'ont pas forcément atteint l'Amérique du Sud, on y fabriqua, à l'aide de plans de construction, de nouveaux appareils. On les fit voler, et une part importante de cette technologie fut utilisée en 1983 dans à cadre de l' "expérience Phoenix", projet précédé par l' "expérience Philadelphia" de 1943. (Il s'agit d'expériences de téléportation, de matérialisation et de voyages dans le temps de la US NAVY qui furent plus couronnées de succès qu'on ne l'aurait imaginé dans les rêves les plus téméraires. Il y aurait ici matière à un autre livre mais cela nous écarterait du sujet. Voir la bibliographie).
En 1938 eut lieu une EXPEDITION allemande en ANTARCTIQUE
(voir notre nouveau site: http://neuschwabenland.onlc.fr )
menée par le porte-avions Schwabenland. Les Allemands s'attribuèrent 600.000km carrés de terrain qu'ils baptisèrent "NEUSCHWABENLAND" . C'était une région sans glace avec des montagnes et des lacs. Des flottes entières de sous-marins du type 21 et 23 prirent, plus tard, la route vers le Neuschwabenland. Jusqu'à ce jour, plus de cent sous-marins allemands y disparurent. Ils étaient équipés entre autres du tuba Walter qui leur permettait de rester plusieurs semaines sous l'eau. On peut penser qu'ils se sont enfuis vers le Neuschwabenland avec les soucoupes volantes en pièces détachées ou qu'ils ont, au moins, emporté les plans de construction. On peut supposer aussi, puisque les essais en vol furent couronnés de succès, qu'à la fin de la guerre les soucoupes volantes s'y sont rendues directement.
Cette supposition peut paraître osée à plus d'un mais beaucoup d'indices importants permettent, cependant, d'imaginer que cela s'est passé ainsi.
On peut alors se poser la question : "Pourquoi les Alliés ont-ils ENVAHI L'ANTARCTIOUE sous les ordres de l'AMIRAL E. BYRD, en 1947 ?". Si ce n'était que pour une expédition, pourquoi Byrd avait-il à sa disposition 4.000 soldats, un bateau de guerre, un porte-avions tout équipé et tout un système complet de ravitaillement ? Il disposait de huit mois et il fut, cependant, obligé déjà au bout de huit semaines de tout interrompre après avoir subi d'énormes pertes d'avions.
Le nombre exact ne fut jamais communiqué publiquement : Qu'arriva-t-il ?
L'amiral Byrd expliqua, plus lard, à la presse : "C'est dur à entendre mais dans le cas d'une nouvelle guerre il faudra s'attendre à des attaques d'avions qui peuvent voler d'un pôle à l'autre". Il laissa aussi entendre qu'il y avait là-bas une civilisation avancée qui se servait, en accord avec les SS, d'une technologie supérieure.
Dans son livre "Zeitmaschinen" (Machines à remonter le temps) ou il se demande, entre autres, ce que sont devenus les Haunebu, Norbert Jürgen-Ratthofer écrit :
"Depuis mai 1945, les toupies spatiales Haunebu I, II et III et même les disques volants spatiaux Vril-1 ont disparut, d'abord, sans laisser de traces. (...) Dans ce contexte, il est extrèmement intéressant de savoir que le Haunebau III du Reich allemand, après son 19ème essai en vol, se serait envolé vers Mars pour une expédition spatiale le 20 avril 1945 en décollant du "Neuschwabenland" qui était alors officiellement un immense territoire du Reich allemand en Antarctique de l'est.
Ce qui en est résalisé, nous ne le savons pas. (...) Un an plus tard, en 1946, d'innombrables objets lumineux d'origine inconnue mais fabriqués indéniablement de façon artificielle furent vus au-dessus de la Scandinavie et provoquèrent un grand émoi chez les Alliés à l'Est comme à l'Ouest.
De nouveau un an plus tard, en 1947, et jusque dans les années 50, des objets volants lumineux surgirent au-dessus de l'Amérique du Nord en un nombre sans cesse croissant. Ils étaient pilotés, c'est certain, par des êtres intelligents, ils étaient, le plus souvent, ronds, en forme de disque ou de cloche, c'était aussi parfois des "Objets Volants Non Identifiés" en forme de cigares qu'on appelle OVNIs".
Il y a des auteurs qui disent que ces "OVNIs" ne ressemblaient pas, en règle générale, à ceux fabriqués par le Reich allemand. Sur ce point, mon avis diverge. Du matériel photo bien documenté prouve que spécialement la version Haunebu II a été vue, et même très souvent, depuis 1945. Si vous vous êtes intéressés, comme moi, depuis 10 ans au monde technique des OVNIs, vous avez pu constater que parmi les cas ou il y a eu des contacts personnels avec les occupants des OVNIs, il y a un pourcentage particulièrement élevé de très beaux êtres de l'espèce "aryenne", blonds aux yeux bleus et que ceux-ci parlaient soit couramment l'allemand soit courrament une autre langue avec un accent allemand (pour les initiés mentionnons le cas d'Adamski, en 1952, le cas de Cedric Allingham, en 1954, et celui de Howard Menger, en 1956).
On raconte aussi qu'existent des photos en couleur d'un disque volant qui a atteri avec des homnes pour repartir aussitôt et sur lequel étaient dessées deux croix, une "Balkenkreuz" et une croix gammée. Ces photos furent prises dans les années soixante-dix par un veilleur de nuit en RDA.
Il exist,e à propos des engins volants messionnés ci-dessus un très bon dossier de photos et de films comme, par ex., la documentation en 60mm "UFO-Geheimnisse des 3 Reiches" (Les secrets des OVNIs du 3ème Reich) (MGA Austria/ Royal Atlantis-Film GmbH). Citons aussi le dossier de l'Américain Vladimir Terziski qui, lors de la conférence sur les OVNIs en septembre 1991 a Phoenix, en Arizona, a projeté des diapositives pendant trois heures et montré des photos de soucoupes allemandes, de plans de construction et de bases souteraines allemandes. Le livre du commandant de l'armée de l'air italienne Renato Vesco est aussi très intéressant ainsi que celui de Rudolf Lusar : "Die Deutschen Waffen und Geheimwaffen des Zweiten Weltkrieges und ihre Weiterentwicklung" (Les armes allemandes et les armes secrètes allemandes de la Deuxième Guerre mondiale et leur mise au point ultérieure), J. E Lehmanns Verlag, München, 1971.
Comprenez-vous maintenant pourquoi tout ce qui a trait aux OVNIs passe pour de la fumisterie dans les mass media, et ceci particulièrement en Allemagne ? Compte tenu de cet arrière-plan allemand, le monde de la presse et des médias qui est contrôlé par les Illuminati gràce au lobby anglo-américano-sioniste est prêt à investir des sommes énormes pour empêcher le citoyen allemand de faire des investigations en ce domaine.
La question qu'on peut se poser maintenant est la suivante :
D'ou les sociétés secrètes allemandes Thulé et Vril tenaient-elles les connaissances indispensables à la construction de ces engins volants ? Et d'où leur venait le savoir concernant le génie génétique, domaine ou les allemands étaient également fort en avance par rapport aux autres nations ?
D'après les dires de Herbert G. Dorsey et d'autres chercheurs, ils ont été non seulement par les contacts télépathiques avec des extra-terrestres leur fournissant les lians de construction, mais aussi par l'étude de la propulsion intacte d'une soucoupe non terrestre qui s'était abattue en Forêt Noire en 1936. Mais il n'y a pratiquement aucune preuve de cet événenement ni des témoins oculaires encore vivants.(Il y aura un article spécial sur cet événement et Maria Orsitsch).
Cependant, ces preuves existent aux USA, et même en grand nombre. A la même époque, les Américains enregistraient une série d'objets qui s'écrasaient au sol, ce qui ne put être tenu complètement caché. Nous y reviendrons plus tard.
Revenons à la politique. Pendant que l'I. G. Farben soutenait Hitler, son partenaire de cartel, la "Standard Oil" (Rockefeller) montait le peuple contre les Nazis. De même, la "Ford, Motor Company" fabriquait des armements militaires pour l'armée américaine mais produisait en même temps en Allemagne des véhicules militaires pour les nazis. Ford et Opel (filiale de General Motors qui est contrôlée par J. P. Morgan) étaient les deux plus grands fabricants de chars dans l'Allemagne d'Hitler.
Qu'importe le vainqueur, les multinationales étaient, depuis le début, gagnantes. C'est selon ce même principe que beaucoup d'entreprises travaillèrent penddant la Deuxième Guerre mondiale.
Pourquoi n'y a-t-il rien de tout cela dans les livres des écoliers ou dans les encyclopédies ? Et particulièrement en Allemagne où règne apparemment la liberté de la presse et où l'on enseigne la vérité ?
Une des raisons en est la suivante : la fondation Rockefeller a distribué, en 1946, 139.000 dollars pour qu'on présente au public une version officielle de la Deuxième Guerre mondiale qui dissimule toute l'aide des banquiers américains pour l'édification du régime nazi et qui passe aussi sous silence l'idéologie mystique et occulte de ce régime. Un des principaux donateurs était la Standard Oil Corp, de Rockefeller.
RÉ-ÉCRIRE L'HISTOIRE-ADOLPH HITLER THÉORICIEN DE LA GUERRE DU FUTUR ET VISIONNAIRE DU ...11 SEPTEMBRE 2001
(le 11 septembre 2011)
Extrait des notes d'un journaliste nazi prises un an avant la prise du pouvoir par le Fuhrer.Les personnes ayant assisté à l'entrevue avec le journaliste sont deux jeunes membres des S.A. de Bavière et le gauliter de Dantzig,Albert Forster,lui-même accompagné de Linsmayer, le jeune fuhrer des S.A. de Dantzig,...sans oublier Rudolph Hess ,sans qui ces notes seraient probablement disparues à jamais.Ces jeunes personnes sont fascinées et en extase devant la présence imposante du "Guide du Peuple Allemand"!
La guerre du futur
La conversation se poursuivit encore sur certains détails de la future guerre des gaz et des microbes. Nous nous trouvions chez Hitler, dans la véranda exiguë de la villa Wachenfeld, sur l'0bersalzberg. Le chien loup d'Hitler, une bête magnifique, était couché aux pieds de son maître. Les pics des montagnes brillaient de l'autre côté de la vallée, couronnant une pente de riantes prairies. C'était par une féerique matinée d'août, baignée de la lumière un peu crue, annonciatrice de l'automne, qui se renouvelle constamment dans les montagnes bavaroises. Hitler fredonnait un air d'un opéra de Wagner. Il me parut distrait, versatile. Loquace au début, il sombra presque aussitôt dans un silence renfrogné. C’était, il faut le rappeler, l'époque où le national-socialisme approchait de sa crise la plus grave. Le parti se trouvait alors dans une situation presque désespérée, ce qui n'empêchait pas que dans chaque parole du Führer, on sentît l'accent de la conviction absolue d'arriver bientôt au pouvoir et de conduire le peuple allemand vers un destin nouveau. Nous parlions de la guerre, de son issue et du tour tragique qu'avaient pris en 1918 toutes les victoires allemandes.
– "Nous ne capitulerons jamais, s'écria Hitler. Nous succomberons peut-être, mais nous entraînerons un monde dans notre chute..." Il fredonna quelques mesures caractéristiques du Crépuscule des Dieux. Notre jeune ami des S.A. rompit le silence en suggérant que c'était la supériorité du matériel ennemi qui avait été la cause de l'issue. malheureuse de la guerre, ce à quoi Hitler répliqua : "Là décision d'une guerre ne dépend pas du matériel, .elle dépend toujours des hommes. "
– "Pourtant, les découvertes nouvelles et la supériorité des armements décident du sort de peuples entiers et de classes sociales. Et n'est-ce pas cela que vous entendiez, mon Führer, quand vous disiez, il y a un instant, que la guerre future revêtirait un aspect totalement différent de celui de la dernière guerre. Les nouvelles armes, les inventions techniques modifieront totalement la conduite de la guerre. Elles bouleverseront toute la stratégie d'autrefois. Aujourd'hui, l'Allemagne a la supériorité des armes et des découvertes techniques, "
– " Non, la stratégie ne varie pas, en tous cas pas du fait des découvertes techniques. C'est une erreur absolue."
Hitler s'anima. "Dites-moi quelles modifications ont eu lieu depuis la bataille de Cannes, L'invention des armes à feu, au moyen âge, qu'a-t-elle donc changé aux, lois de la stratégie ?" Je reste sceptique en ce qui concerne la valeur des découvertes techniques. Quelle est l'invention qui, jusqu'à présent, a pu révolutionner les lois de la conduite de la guerre d'une manière durable ? Chaque invention est elle-même suivie presque immédiatement d'une autre, qui neutralise les effets de la précédente. Certes, la technique des armements progresse continuellement, et il est certain qu'elle innovera encore beaucoup avant d'avoir atteint la perfection absolue en matière de puissance destructive. Mais tout cela ne confère qu'une supériorité momentanée.". Rudolph Hess, le secrétaire privé d'Hitler à cette époque, s'était tenu à l’écart au début de la conversation, Il intervint à ce moment :
– "Ces Messieurs ne semblent pas très bien comprendre la façon dont l'Allemagne, étant donné la faible valeur des nouveautés techniques pour la conduite de la guerre, pourrait échapper à l'inéluctable nécessité d'une nouvelle guerre de positions, qui durera plusieurs années
– "Et qui dit que je songe à faire une guerre comme celle qu'ont entreprise les insensés de 1914 ? Est-ce que tous nos efforts ne tendent pas, au contraire, à l'éviter ? La majorité des hommes manque décidément d'imagination." Le visage d'Hitler se contracta en une grimace méprisante. "Ils sont tout juste capables de se représenter l'avenir d'après leur pauvre petite expérience personnelle. Ils n'entrevoient ni le nouveau, ni le surprenant. Les généraux ont le cerveau aussi stérile que les autres. Ils restent encroûtés dans leur technique professionnelle. C'est toujours ailleurs que dans les milieux de techniciens qu'on rencontre le génie créateur, Moi, j'ai le don de simplifier et de ramener les problèmes à leur donnée essentielle. On a voulu faire de la guerre une science hermétique et c'est pourquoi on l'a entourée d'un appareil solennel. Comme si la guerre n'était pas la chose la plus naturelle du monde. Elle est de tous les temps et de tous les lieux, elle est quotidienne, elle n'a pas de commencement, pas plus qu'il n'y a jamais de paix. La vie est une guerre, chaque lutte que nous menons est une guerre, la guerre c'est l'état naturel de l'homme. Retournons en arrière, remontons, si vous voulez, jusqu'à l'époque de l'homme non civilisé. Qu'est donc la guerre sinon ruse, tromperie, stratagèmes, attaque et surprise ? Les hommes n'ont commencé à s'entretuer qu'à partir du moment où ils ne pouvaient plus faire autrement. Les marchands, les brigands, les guerriers... A l'origine, tout cela ne faisait qu'un. Mais il existe une stratégie plus haute, une guerre employant des moyens d'un ordre plus spirituel(1). Que cherche-t-on à obtenir à la guerre, Forster ? La capitulation de l'adversaire. Dès l'instant où l'ennemi capitule, je sais que je puis l'anéantir complètement. Pourquoi, dans ces conditions, chercherais-je à le démoraliser militairement, si je puis obtenir un résultat identique par des moyens moins onéreux et plus sûrs ? "
...Hitler nous exposa ensuite les grandes lignes de sa guerre à lui, telle qu'il devait maintes fois la mettre en pratique par là suite. Mais à cette époque, ce n'était encore qu'une vision insolite et manquait quelque peu de clarté. Cependant on sentait qu'il s'était longuement occupé de ces questions et à fond, qu'il avait la conviction d'être un nouveau grand stratège, une sorte de futur "Seigneur de la Guerre", dans un sens jusqu'alors inconnu.
– "Si je fais la guerre, Forster, j'introduirai peut être en pleine paix, des troupes dans Paris. Elles porteront des uniformes français. Elles marcheront, au grand jour, dans les rues où personne n'aura même l'idée de les arrêter. J'ai tout prévu dans le moindre détail. Elles marcheront sur le siège de l'État-major, elles occuperont les Ministères, le Parlement. En quelques minutes, la France, la Pologne, l'Autriche, la Tchécoslovaquie seront privées de leurs dirigeants. Les armées décapitées de leurs états-majors, tous les gouvernants liquidés, il régnera une confusion inouïe. Mais je serais depuis longtemps en relation avec des hommes qui formeront un nouveau gouvernement, un gouvernement à ma convenance. De tels hommes, nous en trouverons partout. Nous n'aurons même pas besoin de les acheter. Ils viendront nous trouver d'eux-mêmes, poussés par l'ambition, par l'aveuglement, par la discorde partisane et par l'orgueil. Et la paix elle sera signée avant même que les hostilités aient éclaté. Je vous en donne l'assurance, Messieurs, c'est toujours l'impossible qui réussit et c'est le plus invraisemblable qui est le plus certain. Nous trouverons assez de volontaires, assez d'hommes comme nos S.A., silencieux et prêts à tous les sacrifices. Nous leur ferons franchir la frontière dès le temps de paix, par petits groupes, et tout .le monde s'imaginera que ce seront de pacifiques voyageurs. Aujourd'hui, Messieurs, vous ne me croyez pas, pourtant je ferai comme je vous le dis, je les introduirai section par section. Peut-être atterrirons-nous sur les champs d'aviation car nous serons en mesure, à ce moment, de transporter par air, non seulement des hommes, mais encore des armes, et il n'y aura pas de ligne Maginot pour nous arrêter. Notre stratégie, Forster, consistera à détruire l'ennemi par l'intérieur, à l'obliger à se vaincre lui même(2).
– "Qu'en dites-vous ? Me demanda Forster à mi voix. Il y a quelques semaines, il a développé devant les généraux qui commandent en Prusse Orientale, un plan entièrement nouveau pour la défense de cette région contre une attaque éventuelle des Polonais. Et les généraux l'ont adopté. Hitler est un génie, c'est un spécialiste universel..."
(...plus loin dans la conversation:)
Ce fut Hitler qui renoua l'entretien : "Bien entendu, nous dominerons en matière d'aviation. L'arme aérienne offre d'innombrables possibilités. Notre supériorité sur tous les autres sera écrasante. Dans ce domaine, nous n'avons qu'un seul concurrent sérieux à redouter : les Anglais. Les Slaves eux, ne comprendront jamais rien à la guerre aérienne, c'est une arme virile, une forme germanique du combat. Je ferai construire la plus grande flotte aérienne du monde. Nous aurons les pilotes les plus intrépides. Évidemment, nous aurons aussi une forte armée de terre."
– "Établirez-vous le service militaire obligatoire ?" demanda Linsmayer.
– " Certainement. J'établirai même l'obligation généralisée du travail auprès de laquelle la Hilfsdienstpflicht de Hindenburg n'existe pas. Il nous faut des armées, non seulement des formations spécialisées de haute qualité, mais encore des armées de masses. Mais nous ne les ferons pas intervenir comme en 1914. Ce que la préparation d'artillerie représentait à cette époque pour l'attaque d'infanterie, dans la guerre des tranchées, sera remplacé dans l'avenir par la dislocation psychologique de l'adversaire au moyen de la propagande révolutionnaire, et ce, avant même que les armées entrent en jeu. Il est indispensable que la nation ennemie soit démoralisée, qu'elle soit préparée à capituler, qu'elle soit moralement contrainte à la passivité avant même que l'on songe à une action militaire. Obtiendrons-nous la défaite morale de l'adversaire avant la guerre ? Voilà la question qui m'intéresse. Celui qui a fait la guerre au front ne peut vouloir de nouveaux sacrifices sanglants, s'il est possible de les éviter. Tous les moyens permettant d'épargner le précieux sang allemand, seront bons. Nous n'hésiterons pas à fomenter des révolutions chez l'ennemi. Rappelez-vous Sir Roger Casement et les Irlandais, pendant la guerre mondiale. Partout, en plein pays ennemi, nous aurons des amis qui nous aideront, nous saurons nous les procurer. La confusion des sentiments, les conflits moraux, l'indécision, la panique, voilà quelles seront nos armes." Hitler se tourna de mon côté: "Vous connaissez, n'est-ce pas, l'histoire des révolutions ? C'est toujours la même chose. Les classes dirigeantes capitulent. Pourquoi ? "Par défaitisme, parce qu'elles n'ont plus aucune volonté. Les enseignements de la révolution, voilà tout le secret de la stratégie nouvelle. Je l'ai appris, des bolcheviks et n'ai pas honte de le dire, car c'est toujours de ses ennemis qu'on apprend le plus. Connaissez-vous la théorie du coup d'État ? Étudiez-la, et vous saurez alors ce que vous aurez à faire."
– "Jamais je ne commencerai une guerre sans avoir auparavant la certitude que mon adversaire démoralisé succombera sous le premier choc." Le regard d'Hitler devint fixe, sa voix s'enfla. "Quand l'ennemi est démoralisé à l'intérieur, quand il est au bord de la révolution, quand les troubles sociaux menacent d'éclater, alors, le moment est arrivé, et un seul coup doit l'anéantir. Des attaques aériennes massives, des coups. de main, des actes de terrorisme, le sabotage, des attentats perpétrés à l'intérieur, l'assassinat des dirigeants, des attaques écrasantes sur tous les points faibles de la défense adverse, assénées comme des coups de marteau, simultanément, sans se soucier des réserves ni des pertes, telle est la guerre future. Un martelage gigantesque et qui broie tout, je ne vois que cela et je ne pense pas à la suite... Je ne jouerai pas au soldat et je ne m'en laisserai pas imposer par les stratèges. La guerre, c'est moi qui la mènerai. Le moment favorable à l'attaque, c'est moi qui le déterminerai. Ce moment, le plus favorable de tous, je l'attendrai, avec une détermination de fer et je ne le laisserai pas échapper. Je mettrai toute mon énergie à le provoquer. Ceci sera ma tâche. Et lorsque j'aurai réussi, j'aurai le droit d'envoyer la jeunesse à la mort, car, alors j'aurai épargné autant de vies humaines qu'il aura été possible de le faire. Messieurs, nous ne nous amuserons pas à jouer aux héros. Ce que nous voulons, c'est anéantir l'adversaire. Les généraux, malgré les enseignements de la guerre passée, veulent continuer à se comporter comme des chevaliers d'autrefois. Ils se croient obligés de conduire les guerres comme des tournois du moyen âge. Je n'ai que faire de chevaliers.
Ce qu'il me faut, ce sont des révolutions. J'ai fait, de la doctrine de la révolution, la base de ma politique.".
Hitler s'arrêta quelques instants : "Je ne reculerai devant rien. Il n'y a pas de droit international, il n'y a pas de traité qui m'empêchera de profiter d'un avantage lorsqu'il se présentera. La prochaine guerre sera terriblement sanglante et cruelle. Mais la guerre la plus cruelle, celle qui ne fait aucune différence entre les militaires et les civils, sera aussi la guerre la plus douce, parce qu'elle sera la plus courte. En même temps que nous interviendrons avec toutes nos armes, nous démoraliserons l'adversaire par la guerre des nerfs. Nous provoquerons une révolution en France. J'en suis aussi sûr. que je suis sûr que cette-fois-ci, il n'en éclatera pas en Allemagne, Vous pouvez m'en croire. J'entrerai chez les Français en libérateur. Nous nous présenterons au petit bourgeois français comme les champions d'un ordre social équitable et d'une paix éternelle. Ces gens-là ne veulent plus rien savoir de la guerre et de la grandeur. Mais moi, je veux la guerre, et tous les moyens me seront bons. Évitez surtout de provoquer l'ennemi! ce n'est pas là ma devise. Ce que je veux, c'est l'anéantir par tous les moyens. La guerre sera ce que je veux qu'elle soit. La guerre, c'est moi ! "
(notes du rédacteur nazi sur le magnétisme du Fuhrer:)
Le magnétisme personnel est un phénomène tout à fait particulier. J'ai éprouvé sur moi et sur d'autres que s'y laisse prendre uniquement celui qui le veut bien. J'ai remarqué qu'Hitler produisait la plus forte impression sur des personnes facilement influençables et chez qui l'élément féminin domine, ou encore sur des gens portés au byzantinisme et au culte de l'individu, soit par suite de leur éducation, soit à cause de leur position sociale.
Le 27 février 1933, à Berlin, le Reichstag prend feu.
Lorsqu'il accepte le poste de chancelier du Reich, le 30 janvier 1933, Adolf Hitler exige que de nouvelles élections législatives soient organisées, afin de renforcer le poids du parti nazi : celui-ci ne dispose que de deux ministres au sein du gouvernement2,N 1 et le résultat desélections législatives de novembre 1932 a confirmé la chute du vote en faveur des nazis par rapport au deuxième tour de l'élection présidentielle du 10 avril 1932 ou aux élections législatives de juillet 1932. Le 1er février, le président du Reich, Paul von Hindenburg signe le décret de dissolution des chambres, qui fixe la date des élections au 5 mars.
La campagne électorale se déroule dans un climat d'intimidation. Utilisant les nouveaux pouvoirs dont il dispose en tant que chancelier, Hitler fait cesser la parution de journaux qui critiquent le gouvernement et les rassemblements publics sont prohibés dans plusieurs localités par les autorités ; les membres de la SA perturbent les réunions des adversaires politiques des nazis et passent à tabac nombre d'opposants. Cette « brutalisation » de la campagne électorale est favorisée par le décret présidentiel du 4 février 1933 pour la protection du peuple allemand qui donne pleins pouvoirs au gouvernement pour interdire réunions et publications, et qui est largement utilisé par Hitler contre les communistes, les socialistes et les membres du Zentrum ; elle est également facilitée par la décision d'Hermann Göring, en tant que ministre de l'Intérieur de Prusse, de recruter 50 000 membres de la SA, de la SS et du Stahlhem comme auxiliaires de police, ce qui leur assure une totale impunité.
Une intense campagne de propagande, soutenue par un apport de fonds considérable venant des milieux industriels7, est orchestrée parJoseph Goebbels. Un de ses points culminants est le discours prononcé par Hitler au palais des sports de Berlin, le 10 février, devant une foule immense et enthousiaste, discours rediffusé à travers toute l'Allemagne par la radio8.
Le 27 février 1933, vers 21h15, un étudiant en théologie passant devant le Reichstag entend le bruit d'une vitre brisée10. Il alerte le gardien du parlement qui aperçoit une silhouette courant à l'intérieur du bâtiment en y boutant le feu10. Les pompiers et la police arrivent rapidement sur les lieux où ils constatent de nombreux départs de feu10. « Dans la salle Bismarck, située au nord de l'édifice, un homme jaillit soudain, torse nu, ruisselant de sueur, l'air égaré, avec un regard halluciné. ».
"Les nazis utilisèrent pour la première fois l'homophobie populaire lors de l'incendie du Reichstag en accusant van der Lubbe, un fragile jeune homme manipulable, d'être un sympathisant communiste mais aussi, on l'a moins lu à l'heure de la récente ouverture du Reichstag, d'être homosexuel. Lequel Reichstag, s'il n'eut été incendié, aurait, comme l'indiquait son calendrier parlementaire, eu à débattre quelques mois plus tard de l'abrogation de cette loi homophobe, le paragraphe 175, héritée du code prussien, elle qui avait été effacée au milieu du xixe siècle par le code Napoléon qui avait aboli toute condamnation pénale pour sodomie. Cette double accusation de la chancellerie nazie – imaginez : un incendiaire du parlement à la fois communiste et homosexuel – permit, par une sorte de "tétanisation" de l'indignation populaire ainsi interloquée, rumeurs comprises, de faciliter la suspension des libertés publiques, des syndicats, des associations et des partis politiques."
L'affaire est enclenchée et la chasse aux juifs va commencer!
Plus de 68 ans plus tard,un certain Georges W. Bush s'en souviendra,mais cette fois-çi on chassera le musulman avec l'aide des sionistes!
L'incendie du Reichstag sera médiatisée fortement par les journeaux...et les procès!La propagande bien orchestrée contre les juifs bolchéviques aura un grand succès,tout comme celle de Bush ,contre les musulmans!
Le 11 septembre 2001, pour la première fois, un attentat majeur est montré en direct à la télévision. Quand l'avion s'encastre dans la deuxième tour, il est même filmé sous six angles différents. Dans les quelques heures qui suivent les attaques terroristes, un nombre astronomique d'images tragiques et spectaculaires ont été produites, par des amateurs comme par des professionnels, marquant un tournant dans l'histoire de la production et de la diffusion des images de propagande.
Les gens,tels un troupeau de moutons ,vont arrêter de réfléchir et subir le stress de l'horreur en direct!Personne,à ce moment-là,ne va se poser de questions sur le pourquoi et le comment de l'écrasement des 2 tours et du fameux WTC-7!
On ne retrouvera aucun morceau de cadavres,ni d'avion en Pennsylvanie,sur le lieu du crash du vol 93,mais personne ne se posera de questions!Les Tours Nord et Sud du World Trade Center sont les premières tours érigées en acier structurel à s'écrouler après quelques minutes d'incendie,...mais personne ne se pose de question,à ce moment-là!
Conséquences de l'incendie du Reichstag
Le 15 septembre 1935, la loi civile du Reich et la loi « pour la protection du sang et de l’honneur allemand » interdisent les unions et les relations sexuelles entre Juifs et « non-Juifs », « génératrices de souillures ».
Les Juifs sont privés de leur citoyenneté et deviennent des sujets de statut inférieur, auxquels il est même interdit de « pavoiser aux couleurs nationales allemandes. » Parallèlement, le décret d’application du 14 novembre 1935 définit qui est juif : « est juif celui qui est issu d’au moins trois grands-parents juifs ; est juif celui qui appartient à la communauté religieuse juive. » Le critère racial et l’appartenance religieuse sont donc l’un et l’autre pris en compte. Des ordonnances d’application, des dispositions relatives au cas desMischlinge (métis) ou demi-Juifs, suivent quelques semaines plus tard. Ces lois déclenchent une série de dénonciations(3) : dans la seule ville de Hambourg, environ 5 000 personnes sont arrêtées puis interrogées tandis que 1 150 procédures d’instruction sont ouvertes. Après avoir purgé une peine pour infraction à la loi sur la protection du sang, ces personnes sont généralement internées dans des camps de concentration.
Pensez aux conséquences du Complot du 11 septembre 2001!Imaginez le futur de nos enfants vivant dans pareils mensonges!
Nous sommes devenus La Planète des Singes!
Étrange,mais lisez bien ce qui a été écrit là-dessus...et la date!
« Quel était à Berlin, le 27 février au soir, l'homme qui détenait les clés du Reichstag?
Quel était l'homme qui en commandait la police?
Quel était l'homme qui pouvait en activer ou en arrêter la surveillance?
Quel était l'homme qui détenait la clé du souterrain par lequel on semble avoir pénétré?
Cet homme, c'était à la fois le ministre de l'Intérieur de Prusse et le président du Reichstag : c'était Hermann Göring »
— M. de Moro-Giafferi, Londres, 11 septembre 1933.
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(1)Retenez bien ce mot:...spirituel,car il a toute sa signification ,ici!
(2)Intéressante cette phrase;diviser de l'intérieur un pays,pour mieux l'anéantir,avec de dévoués collaborateur...de l'intérieur!
(3) Récemment le Canada,par la bouche de son ministre de l'immigration,annonçait qu'il va encourager les dénonciations pour arrêter ou freiner l'immigration illégale!